Bianca Bondi

Entre visible et invisible

Portrait de Bianca Bondi par Etienne Rougery-Herbaut

Crédit photos : Etienne Rougery-Herbaut

Le travail de Bianca Bondi (Afrique du Sud, 1986) se situe à la lisière de plusieurs mondes, révélant
les liens intangibles qui existent entre le visible (la nature, le vivant, les expériences sensorielles convoquées à travers ses installations, les phénomènes chimiques qui transforment la matière) et l’invisible (l’idée de rituels puisés dans le mysticisme et les sources de connaissance non occidentales).

Elle crée des installations oniriques qu’elle contextualise pour chaque lieu d’exposition, révélant le potentiel de métamorphose à l’œuvre dans chaque manifestation du vivant.